Dans la première partie du XXe siècle, les pouvoirs publics prennent conscience de l’importance de l’hygiène au quotidien et de la nécessité d’éduquer la population à ces gestes.
Certaines écoles à la pointe du progrès établissent des programmes d’hydrothérapie et d’éducation physique aquatique en faisant construire ces installations au cœur de leurs établissements : c’est le cas de l’école Vaillant-Jaurès et de l’école Wilson de Suresnes où des douches et des bains sont installés pour les plus petits.